Karol Wojtyla, alias Jean-Paul II vient de fêter son vingt-cinquième anniversaire de pontificat. Nous l'en félicitons et lui souhaitons encore bien des années de règne.
Nos vœux sont réellement les plus sincères. Cela dit, qu'il soit mis sur piédestal par certains, comme initiateur de réformes importantes comme le rapprochement entre l'Eglise catholique et le Judaïsme, ou décrié par d'autres pour son intransigeance quant aux lois divines, il faut au moins se rendre à une triste évidence: notre brave Jean-Paul II est plus que souffrant. Il est fatigué et malade. Toutefois, nous ne prenons pas la peine de rédiger cet article simplement dans le but de déplorer son bulletin de santé. Il y a d'autres raisons beaucoup plus importantes qui méritent réellement toute votre attention. Cela touche à un ensemble de sujets que traitent plusieurs sites du réseau Belgasites: notamment celui de New Belgaria (pays de l'Est - Jean-Paul II étant Polonais - il fut victime en 1981 d'un attentat dans lequel furent impliqués des Bulgares), le réseau-mère lui-même par les rapports informatiques que vous trouverez ci-dessous et le G.E.S.O. (Groupe d'Etude des Sciences Occultes) par le caractère purement surnaturel de ce qui va être exposé ici.

Pour autant que vous soyez en âge de le faire, souvenez-vous: c'était il y a vingt-six ans. Le monde apprenait, incrédule, n'en croyant pas ses oreilles, le décès inopiné du Pape qui précéda Karol Wojtyla. Ce pape est passé comme un météore! Ce n'est pas pour rien que le Vatican insista pour que l'on nomme un pape encore "jeune". Mais rappelez-vous aussi que le poste de Pape de l'Eglise catholique consiste en fait en une succession à Saint-Pierre. Un prénom, celui de Pierre donc, qui n'a curieusement été emprunté par aucun des 263 papes qui lui succédèrent. Bien sûr, on pourrait interpréter cela comme une marque de révérence, personne ne voulant oser une comparaison avec l'illustrissime apôtre, disciple de Jésus-Christ en personne dont, faut-il le rappeler, l'existence ne fait strictement aucun doute (L'histoire reconnaît l'existence du personnage, quant à en faire le fils de Dieu, il s'agit d'une affaire de religion et de foi). Mais on peut aussi considérer qu'il s'agit d'une prudence hautement superstitieuse, laquelle proviendrait en fait des fameuses prophéties de Saint Malachie.

Saint-Malachie écrivit en latin, un bref descriptif de chaque pape. Nous vous passerons les détails, mentionnés d'ailleurs en long et en large dans un livre qui se rapporte à la question, mais sachez seulement que chaque descriptif s'est révélé parfaitement exact, y compris pour les Papes qui vécurent après la mort de Saint-Malachie. On pouvait donc y trouver, de manière très imagée mais incontestable, le caractère extrêmement bref du passage du prédécesseur de Jean-Paul II et l'origine de notre pape actuel. Mais il y a beaucoup plus "fort de café"! Car en fait, la liste des descriptifs est limitée. Elle l'est d'autant plus qu'elle se conforme en cela non seulement à la Bible, à l'apocalypse selon Saint-Jean, mais aussi à la configuration du Vatican qui ne peut que confirmer les prophéties.

En fait, selon les prophéties en question, Jean-Paul II serait notre dernier pape avant des événements épouvantables et cauchemardesques, en fait ni plus ni moins que la fin du monde! Non seulement les prophéties se confirment et le Vatican confirme celles-ci mais en plus il ne reste plus, au Saint-Siège, qu'une seule place vacante où pourrait reposer un souverain pontife. Nous sommes désolés de devoir nous exprimer en des termes aussi macabres mais cela fait partie de l'histoire telle qu'elle a été écrite et du destin de l'Humanité tel qu'il semble être prévu.

Pour poursuivre les prophéties et les commentaires qui doivent impérativement s'en dégager, disons qu'il est prévu qu'après la mort de Jean-Paul II, devrait venir "Pierre le Romain", la destruction de la cité des sept collines, l'antéchrist et toutes les calamités qui s'en suivent!

Quelques explications s'imposent.
Comme on s'exprime toujours en langage imagé, il y a souvent plusieurs interprétations possibles. Certains théologiens comprennent "la cité des sept collines" comme désignant la Rome antique. Il pourrait selon d'autres s'agir (plus vraisemblablement du Vatican à cause de son faste, de son luxe, de ses richesses, contraires aux dogmes prêchés par Jésus-Christ lui-même qui prônait plutôt la pauvreté, s'irritait et se mettait en colère contre les marchands du temple alors que la béatification de Mère Theresa a, elle aussi été prétexte à un intense commerce de circonstance dans la ville sainte. Mais il pourrait aussi s'agir des U.S.A., la Babylone moderne qui se croit invincible mais se trouve en proie au terrorisme (le terrorisme style WTC n'est déjà pas de la rigolade, mais si des groupes parviennent à l'efficacité dans le domaine viral, qu'il soit médical ou informatique, les dégâts pourraient être considérables).

En fait, on pourrait grosso modo dire "peu importe" puisque les conséquences seraient semblables presque partout sur terre: catastrophes gigantesques, épidémies, guerres terribles, destruction généralisée, règne de la terreur et de la mort.
Le déroulement exact des opérations n'est pas clairement établi et trop tributaire d'interprétations qui risqueraient de nous lancer dans des hypothèses par trop fantaisistes, ce qui est sûr en revanche c'est que le monde aura à souffrir d'un joug atroce avant de voir arriver la fin, le jugement dernier et, "l'Autre Monde".

Nous allons pour une fois nous écarter du domaine merveilleux et du surnaturel car, comme nous le stipulons en avant-propos du site, tout cela ne repose finalement que sur des problèmes de foi (lesquels finiront, on peut le supposer, par être confirmés ou infirmés), nous allons nous cantonner aux faits tangibles et réels. Et nous allons commencer par un peu d'histoire en remontant en 1981, année où Jean-Paul II allait être victime d'un attentat duquel il ne réchappa que par miracle. De cette affaire d'ailleurs surgira la révélation du troisième secret relatif à Fatima, dont le Cardinal Sodano, secrétaire d'état du Vatican transmit les explications. (raisons du pardon du Pape, ses tenants et aboutissants, etc.)

Nous n'étonnerons personne de quelque peu érudit ou de simplement logique en disant que, s'il existe évidemment, l'antéchrist est déjà parmi nous, quel que sera l'âge du souverain pontife à sa mort et même si, comme le précisent certains "calculs", Jean-Paul II n'était pas le dernier pape mais l'avant-dernier. Il y aurait fort à croire que les "forces de l'ombre" auraient hâte de passer à l'action et de précipiter les choses, entendez par là de mettre un terme à l'existence papale. (Comprenez-vous à présent l'aversion à prendre "Pierre" comme prénom, la nécessité de prendre un Pape "jeune", la papamobile, etc...?) Or donc, un attentat contre SS. Le Pape était plus que prévisible et c'est bien ce qui se passa. Et comme de fait, l'affaire fut auréolée de mystère, jugez plutôt:

1981 : Le 13 mai 1981 (date anniversaire de l'apparition de la Vierge à Fatima, au Portugal, en 1917), Jean-Paul II est victime d’un attentat perpétré en pleine place Saint-Pierre par un ressortissant turc. Ali Agça tire à trois reprises sur le souverain pontife, devant une foule de 20 000 fidèles. Une dizaine de jours plus tard, les médecins peuvent déclarer Jean-Paul II véritablement hors de danger, mais il gardera des séquelles de l'attentat. «Je me sens très proche des deux personnes blessées en même temps que moi. Je prie pour le frère qui m'a tiré dessus et je lui ai sincèrement pardonné», dit-il quelques jours après la tentative d'assassinat.

Le 27 novembre 1979, la presse turque publie une lettre d'Ali Agça dans laquelle il menace de mort Jean-Paul II s'il ne renonce pas à sa visite à Istanbul, prévue pour le lendemain. Il accuse le pape d'initier une nouvelle croisade contre les musulmans. Un an et demi plus tard, il mettra sa menace à exécution.

Agça a-t-il véritablement agi seul comme il l'affirme tout d'abord ? Après avoir expliqué son geste par la haine, il se ravise et met en cause des compatriotes turcs trempant dans des activités mafieuses. On a pourtant trouvé dans sa pension romaine une note prétendant qu'il a tué le pape au nom de la liberté au Salvador et en Afghanistan. Tactique de diversion ? A-t-il plutôt agi pour le compte des Loups gris, un mouvement armé d'extrême droite antichristianisme et anti-Occident, dont il est un ancien militant ?

Avec la guerre froide comme trame de fond, la justice étudiera surtout la «piste bulgare» : les services secrets du pays auraient exécuté un complot ourdi par l'URSS et le KGB, les services secrets soviétiques. Agça lui-même étayera cette thèse en affirmant avoir rencontré des agents bulgares, mais certains allégueront que la CIA est intervenue pour influencer son témoignage. Lors des interrogatoires, Agça se rétracte à nouveau : il dit avoir agi seul, sans l'intention de tuer sa victime. Faute de preuves, le procès contre des Bulgares mènera à leur acquittement.

Après deux procès, trois enquêtes et des milliers de pages de rapports, le mystère entourant l'attentat contre le pape subsiste. Et la dernière explication fournie par Agça n'éclaire pas davantage : en 2000, il affirme avoir été guidé par une «force surnaturelle».

Il y a une autre explication, beaucoup plus lugubre et qui fait le trait d'union avec l'informatique (ironiquement peut-être, rappelons que l'informatique est la digne descendante du non moins digne John Vincent Atanassov, un Bulgare qui inventa l'ordinateur). Outre l'impact psychologique de l'an 2000 (de longue date, des prophètes de toutes natures prédisaient la fin du monde pour l'arrivée du nouveau millénaire), on s'attendait aussi, en 1999, à de terribles catastrophes qui seraient provoquées par "le bug de l'an 2000". Tous les ordinateurs de la planète allaient devenir hystériques, fous, se tromper et provoquer des accidents en chaîne, l'impact aurait été considérable, en soi, cela pouvait déjà se comprendre comme une espèce de fin du monde. Remarquez que si vous retournez le chiffre 1999, vous obtenez 6661, qui aurait donc été la première année du chiffre de la Bête!!! Et si, pour couronner le tout, le Pape avait disparu, assassiné, quel "joli feu d'artifice" n'est-ce pas?

Il y a pourtant encore autre chose! En décrivant la cité des sept collines ou l'équivalent de l'ancienne Babylone [les écrits bibliques s'avèrent actuellement extrêmement intéressants à plus d'un titre puisque l'on sait qu'une partie de l'Humanité a vu le jour en Assyrie, donc du côté de l'Irak (également berceau du fameux démon Pazuzu, celui qui fit parler de lui dans le film "L'Exorciste" notamment)] certains n'hésitent donc pas à évoquer les USA pour leur monopole, leur puissance militaire, leur puissance économique. Les spéculations et les interprétations vont bon train (les dollars portent la mention "In god we trust", mais les seuls vrais dieux adorés en Amérique sont l'argent et l'arme).

Nous nous garderons bien d'émettre un jugement personnel, mais il faut quand même mettre en exergue la mainmise de l'informatique sur le reste du monde par l'intermédiaire du géant de Bill Gates (que certains n'hésitent pas non plus à faire prendre le rôle de l'antéchrist!!!) qui, non content de son monopole, récolte d'immenses informations par le biais de l'ensemble de tous nos PC domestiques. Il y a pire, cependant: une espèce de puce jouant un rôle multiple de contrôle et d'identification serait déjà opérationnelle (pour avoir été testée sur d'innombrables animaux, on s'en doute, mais aussi sur des soldats ayant participé à la guerre du Golfe, sans compter les autres...). Cette puce serait en quelque sorte la "carte d'identité du futur", se logerait sous la peau par simple injection hypodermique, mais pourrait aussi avoir des fonctions de contrôle à distance. Bonjour la liberté!

Nous n'entrerons pas ici dans des considérations trop techniques, disons seulement, pour clore ce long chapitre, que la puce a reçu le doux nom de "BT 952000 BioChip implantable", lors de son implantation, elle provoque une légère marque (l'appareil fait environ 7 mm)
Frère Sanders croit que cette Microchip à la création de laquelle il a pris parti, ce qu’il regrette aujourd’hui, est "la marque” dont il est parlé dans l’Apocalypse (ch. 13 - 15 à 17). Or, le mot grec pour "marque” est “Charagna” ce qui signifie égratignure ou gravure, c'est-à-dire impression d’une marque de servitude.
Il faut noter, en outre, que le nombre 666 est en réalité un terme dans le grec, “Chi-Xi-Stigma”
La première partie désigne le nombre 666 ( Chi-Xi= trois 6 car 22ème lettre et 14ème lettre de l'alphabet grec, 2+1=3 et 2+4=6, cf. numérologie et kabbale) et “Stigma”veut dire piquer ou apposer une marque par incision ou poinçon [(comme signe que la chose ou la personne vous appartient) cf. aussi: "les stigmates"]. Ce serai donc la marque des trois 6, comme dans la Bible! Troublant, non?

Cela dit, nous n'en sommes pas là! Karol Wojtyla, Jean-Paul II donc, c'est un gaillard courageux et tenace qui n'a pas encore dit son dernier mot. Il ne faut pas non plus voir des signes partout (l'apocalypse devrait être précédée de signes indiscutables et... malheureusement, ils sont là!) sinon, si on prenait ma date de naissance, on y trouverait aussi les trois six, je n'ai cependant pas cette vocation! Il faut toutefois bien jeter aussi un coup d'œil aux successeurs potentiels de Jean-Paul II. Ces cardinaux ne nous sont généralement pas ou peu connus. Les Belges connaissent bien sûr le cardinal Danneels, mais qui connaît Arinze, Battista Re, Carrera, Hummes, Rodriguez, Schoenborn, Scola, Tettamanzi ou... nous gardions le dernier pour la fin car il porte le nom de Sodano ?

Bon! D'accord! Nous amenons le fait un peu comme des mystificateurs, c'est vrai! Et c'est fier de l'effet que nous dirons que "Sodano", cela pourrait être un bon pseudonyme pour "Satan", non?
Toutefois, il faut rendre justice à la personne et dire que le Cardinal en question s'apparente, après vérifications, davantage à un excellent cardinal, lequel s'est d'autant plus mis en valeur qu'il est l'émissaire, le secrétaire d'état du Vatican et le bras droit de Sa Sainteté le Pape Jean-Paul II, excusez du peu! Devant de telles références, on s'incline forcément devant ce possible successeur au palmarès déjà bien rempli.

Et comme il nous faut rendre à César ce qui appartient à César, empereur romain du temps de Jésus-Christ qui, rappelons-le à tout hasard eut Pierre pour disciple, tout cela étant donc parfaitement contemporain, nous en viendrons à cette autre fameuse parole célèbre, proclamée paraît-il par le Grand Jules lui-même, à son propre fils Brutus:
"Toi aussi, mon fils?"
Faisant ainsi allusion à l'étendue de la corruption qui régnait (déjà!) à Rome, en ces temps là...

Aujourd'hui, Benoît XVI est devenu pape.  Il serait donc le dernier avant la fin des temps ou l'arrivée d'un monde nouveau.  Des signes précurseurs ne manquent pas, le cataclysme qu'a connu le Japon est tout à fait parlant, c'est bien de profonde dévastation dont il est question.  De guerres, il en est question partout, mais ce n'est pas nouveau.  ON évoque cependant de plus en plus le Monde Nouveau et 2012 apparaît comme la date fatidique...

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