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Milla Natasha Jovovitch

La filmographie qui suit n'est pas exhaustive mais reprend la majorité des films importants de Milla.

Commençons par l'année 1988 où l'on trouve "Two Moon Jonction" et "Night Train to Kathmandu". Pour ses débuts, Milla joue quelques scènes dans le premier film, incarnant la petite sœur de Sherilyn Fenn. Quant au deuxième, il s'agit d' une production de Disney, déjà une solide référence.

Milla Jovovitch dans The return of the blue lagoonC'est sans doute en 1991 que Milla fait le premier pas vers la consécration en obtenant son premier rôle principal dans "Return to Blue Lagoon". Ce rôle créé vingt ans auparavant par Brooke Shields lui permet de faire tout l'étalage de sa beauté, en très petite tenue dirons-nous pour rester corrects. Il n'en faut pas plus pour qu'on la surnomme désormais 'la Brooke Shields slave".

En 1992, elle a déménage à Londres et obtient un petit rôle dans "Chaplin" de Richard Attenboroughs. Elle y incarne la première femme du célèbre acteur comique.

1993 est une année un peu spéciale pour Milla Jovovitch: on la voit brièvement dans la comédie "Dazed and Confused". où elle n'a que deux phrases à dire, mais elle y chantait aussi quelques lignes de sa propre chanson "The Alien Song". La même année voit l'annulation de son mariage à Las Végas avec un jeune acteur, Shawn Andrews, avec qui elle avait tourné..

En 1994, Milla met soi-disant fin à sa carrière de modèle. Malgré son jeune âge (18 ans à l'époque), elle en avait assez des exigences de cette folle industrie .Elle s'enfuit de nouveau à Londres avec Stuart Zender (bassiste de Jamiroquai), notamment pour prendre du recul vis-à-vis de sa mère. La même année, elle sort son premier album "The divine Comedy" qui obtient de bonnes critiques et lui permet de réaliser une tournée de six mois malgré le peu de succès commercial de l'affaire. Le disque permet cependant au moins de séparer Milla de cette image de super modèle superficiel. Mais après un an et demi à Londres, Milla retourne aux États-Unis et à cette carrière de modèle, "Seulement pour le fric", dit-elle. Mais à ce tarif là, n'est-ce-pas?

Milla Jovovitch en Etre Suprême dans le Cinquième Element de Luc BessonArrive enfin l'année 1996 qui voit ce qui deviendra probablement le tournant définitif de sa carrière. Milla est choisie, parmi 2000 candidates, pour jouer Leeloo, l'être suprême du prochain. film à gros budget de Luc Besson: "The Fith Element" (Le Cinquième Elément). La décision du célèbre réalisateur français est rapidement largement controversée. Est-il opportun de confier ce personnage aussi exigeant à un enfant - modèle sans grandes références vraiment sérieuses?

Mais Besson prend le taureau par les cornes et n'en démord pas. Il pousse sa nouvelle protégée plus loin qu'elle n'était jamais allée avec de longues et épuisantes leçons d'art dramatique, il la drille et lui donne des cours intensifs de karaté (Mais pourquoi donc ne pas m'avoir confié cette tâche?). Plus tard Milla avouera: "J'ai travaillé comme une folle. Pas de sessions avec mon groupe, pas de clubs, pas de marijuana, rien. Ce fut huit durs mois de travail".

En 1997, après la sortie du film au Festival de Cannes, l'actrice constate non sans plaisir qu'elle n'a pas travaillé pour rien. La Leeloo de "The Fifth Element" est "L'être Parfait", une espèce d'extra-terrestre qui répond au nom imprononçable de "Leeloo Minai Lekatariba-Lamirai-Tchai Ekbat De Sebat", (Leeloo est tout de même plus facile!). L'actrice s'y sublime (et si sublime) détient indéniablement le rôle vedette, dépassant en cela le grand Bruce Willis lui-même et, tant qu'on y est,. Gary Oldman, Chris Tucker et qui que ce soit d'autre. Le personnage de Leeloo est un fantastique mélange de sexualité (ou de sensualité), de fragilité, d'humanité, d'intelligence et de force, l'Amour triomphe du Mal grâce à elle, quelle consécration! Milla Jovovitch est désormais LA révélation cinématographique du moment... un moment qui n'est d'ailleurs pas encore sur le point de se terminer.  En 1998, faisant suite à de nombreuses rumeurs, Luc Besson et sa protégée se fiancent puis se marient.

On connaît la suite: Besson permet à Milla de crier "rebelote" avec son rôle dans "Joan Of Arc" (La Messagère) en 1999. Milla devient donc une très crédible Jeanne d'Arc, l'héroïne française d'Orléans. Le nouveau couple s'est alors acheté un château en Normandie, sur une terre de deux cent hectares avec un petit bois et un étang. "En toute modestie" quoi...

1998 fut une année chargée pour Milla. Elle apparaît en tentatrice dans la vidéo de Lenny Kravith "If You Can't Say No" (1998). Puis, "The Peopletree Session", le second album de l'actrice-modèle-chanteuse, est lancé en août.
A cette époque, elle fait aussi beaucoup de publicité, probablement pour arrondir ses fins de mois (?!) Elle interprète aussi le rôle d'une prostituée dans le film de Spike Lee "He Got Game" mettant en vedette Denzel Washington. Milla n'y a qu'une scène où elle se fait battre. Mais bon! Rassurez-vous, ce n'est que du cinéma!
Milla a aussi le premier rôle dans le film écrit par Bono et réalisé par Win Wenders "The Million Dollar Hotel" (1999). Et, pour ne pas perdre la main, dans celui de Iain Softley "The Boathouse" (1999).

Et dans Resident EvilEn avril 1999, Milla et Luc Besson c'est fini. Ils se séparent et divorcent. On la voit alors avec l'acteur Jeremy Davis.

Fin 1999, Milla participe avec son groupe à plusieurs spectacles de Rock en Californie et le 15 août, elle joue au Viper Room. En septembre, avec son groupe Plastic Has Memory, elle joue aussi à New York.

Pour le nouveau millénaire, Milla Jovovitch prend un peu de bouteille mais c'est pour faire comme le vin et s'améliorer encore en vieillissant. Elle persiste et signe dans le registre des films à succès, concrétisés au travers de Resident Evil et Apocalypse, deux performances où la science-fiction et l'horreur trônent en maître. En somme, c'est une nouvelle version, très technologique et futuriste de "La belle et la Bête".

 

 

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