F.A.Q. informations service guide links préjugés Anna Kournikova, l'idole russe!
A 11 ans, un manager d'IMG la remarque et Anna Kournikova part en Floride, accompagnée de sa mère, s'entraîner avec Nick Bollietierri. Ses progrès sont fulgurants et, à 14 ans, elle devient la plus jeune joueuse à remporter un match de Fed Cup en aidant la Russie (qu'elle représentait) à battre la Suède 3-0. Chez les jeunes, Anna Kournikova rafle tout sur son passage, devenant championne du monde ITF junior. Elle fait ses débuts en grand chelem à l'U.S Open à l'âge de 15 ans, occupant une modeste 144ème place. Anna Kournikova doit s'incliner face à la n°1 mondiale de l'époque : Steffi Graf. Elle atteint quand même le stade des quarts de finale dans l'épreuve du double. Élue meilleure recrue de la WTA en 1996, c'est en 1997 que Anna explose littéralement, atteignant notamment les 1/2 finales sur le gazon de Wimbledon. En 1998, elle s'incline en 3 sets face à Vénus Williams après avoir battu Sanchez, Martinez, Davenport et Seles. (Excusez du peu!). Anna Kournikova bat aussi la même année la numéro 1 mondiale Martina Hingis lors du tournoi de Berlin, et remporte avec elle sa première finale en double à l'Open d'Australie de 1999. Quelle que soit réellement la vie privée d'Anna Kournikova, celle-ci est, par définition, privée! Nous regrettons donc et déplorons que certains aient trop remarqué les charmes de la joueuse pour même parfois se jouer de ses charmes et faire paraître des photos (truquées) où elle apparaît totalement nue, dans des positions très scabreuses. C'est là une utilisation du Net que nous ne pouvons que dénoncer. Nous remarquons quant à nous, que ce petit bout de femme de 1m 68 pour une petite cinquantaine de kilos (les ogres Williams doivent la considérer comme le petit poucet!) a pu allier à la fois un talent incontestable, des qualités sportives indubitables (hé non, messieurs, ce mot n'a rien de lubrique, malgré les apparences!), des origines modestes sinon difficiles, et la beauté. Que demander de plus? Non contents de déblatérer sur l'objet de leur(s) jalousie(s), certains ont même poussé le bouchon jusqu'à composer un virus informatique au nom de Kournikova. Dans certains cas, les préjugés visant les pays de l'Est ne sont pas seulement absurdes et déplacés, ils sont aussi maladifs. Pour terminer, nous vous présentons l'une ou l'autre image de la "divine poupée russe" (pour sacrifier à l'expression) mais dans des photos se caractérisant, selon nos habitudes, par leur sobriété... et leur beauté naturelle. (voir ci-contre)
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